• Les vies secrètes de JFK de Pierre Lunel

     

     

     

    Les vies secrètes de JFK de Pierre Lunel

         

     

    Résumé de l’éditeur

    Dans quelques mois, à l’occasion de l’évocation du cinquantième anniversaire de l’assassinat de Dallas, on évoquera à nouveau l’étrange personnalité du plus mythique des présidents américains. Pierre Lunel explore dans cet ouvrage la face cachée de John Fitzgerald Kennedy, grâce à de nombreux témoignages et à des enquêtes fouillées.

     

    Compte tenu de la personnalité de Kennedy, deux axes ont été privilégiés qui se recoupent souvent dans cette vie si troublée : les relations de JFK avec les femmes et avec la mafia…

     

    S’agissant des femmes, Pierre Lunel lève le voile sur bien des mystères : celui de l’attraction sans bornes qu’exerçait JFK sur elles, celui du magnétisme unique qui émanait de toute sa personne, celui de sa frénésie sexuelle, explicable en partie par la maladie d’Addison dont il souffrait et les traitements que les médecins lui administraient pour la combattre,

     

    celui de son irrésistible attrait pour les stars d’Hollywood,

    celui de son seul et unique amour qui le lia à Inga Avard, soupçonnée d’être une espionne danoise , celui de l’étrange ménage qui l’associa à une certaine Jackie Bouvier,

     

    celui de l’assourdissant silence des médias sur les turpitudes du plus débauché des présidents américains.

     

    S’agissant de la mafia, Pierre Lunel dévoile les accointances réelles de JFK avec la pieuvre, révèle les dessous des relations pour le moins étranges avec Sinatra et le parrain Sam Giancana, son amour fou pour Judith Campbell, la maîtresse de Giancana, son conflit avec Edgar Hoover, tout puissant patron du FBI et nous montre le rôle réel de Bobby Kennedy, ministre de la justice.

     

     

    Avis de Callixta

    Ne le nions pas, il y a un certain plaisir voyeurisme à entrer dans les vie secrètes de John Fizgerald Kennedy.

     

    Aujourd’hui encore, un des présidents les plus admirés et aimés des Etats-Unis, le portrait intime livré par Pierre Lunel vous rappellera ou vous apprendra peut-être que cette belle gueule, au succès insolent, marié à l’une des plus belles et intelligentes femmes du monde n’était pas vraiment celui qu’on pouvait croire.

     

     

    Pierre Lunel a compilé des informations prélevées dans les mémoires de ceux qui l’ont connu ou dans ce que l’histoire a laissé en racontant, comme on écrit un roman, l’ascension de ce fils d’Irlandais au destin fulgurant et à la vie loin d’être rangée.

     

    Le style de l’auteur, simple, percutant fait beaucoup pour rendre dynamique ce récit, renforçant encore cette impression qu’ile st un personnage de roman ou qu’il a joué comme un des acteurs dont il était l’ami un rôle dans un film hollywoodien.

     

    Le portrait est cruel pour l’homme comme la photo de la couverture.

     

    Depuis sa naissance jusqu’à sa mort que tout le monde connaît, Pierre Lunel revient sur l’homme privé.

     

    On peut alors résumer ce que fut sa vie :

     

    c’est à la fois un grand malade et un maniaque sexuel impressionnant.

     

    Personne n’ignore plus aujourd’hui qu’il était un homme à femmes mais cette obsession que fut le sexe dans sa vie, les risques qu’il a pris pour satisfaire ses plaisirs les plus fous, les amitiés qu’il a entretenues pour cela font froid dans le dos.

     

    On s’interroge aussi sur le secret bien gardé de cette vie de patachon qui aurait fait exploser n’importe qui mais plus encore un président catholique d’un pays comme les Etats-Unis.

     

    Sans aller aussi loin que l’auteur qui se livre à des interprétations médico-psychologiques, force est de reconnaître qu’il avait un réel problème.

     

     

    On est également fasciné par les efforts de sa famille toute entière, de lui-même, pour cacher ce qu’il est vraiment, surtout ses faiblesses physiques innombrables qui ont fait de lui un client idéal des médecins de tout poil y compris de vrais apprentis sorciers mais également des hôpitaux.

     

    JF Kennedy est mort jeune mais aurait dû disparaître bien avant selon ses médecins.

     

    Ce portrait se déguste comme un roman. Vif, enlevé, le récit révèle l’homme peu à peu suscitant à la fois dégoût et pitié.

     

    C’est aussi une Amérique de la première moitié du vingtième siècle qui apparaît et celle des années cinquante et soixante.

     

    Cuba, Hoover et le FBI, la mafia, Las Vegas, Hollywood, des femmes, du sexe et de la politique au milieu de tout cela, tout de même !...tout tourbillonne.

     

    Une autre façon en tous cas de revisiter sa vie et cette époque.

     

     

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